1: Un tryptique théâtrale sur l'immigration:
Premier volet : Pourquoi quitte t-on son pays ? Qu'éprouvent-on quand on doit prendre cette décision ?
Deuxième volet : Le voyage
Troisième volet : L'arrivée, la découverte, les désillusions ou les joies peut être...
A faire : Construire un questionnaire afin d'aller à la rencontre de personnes qui ont vécu cette situation. Prendre leur témoignage afin d'éviter les clichés que je pourrais y mettre inévitablement même avec la meilleur volonté du monde. Tirer de ces témoignages une fiction théâtrale.
Son but: redonner sa place d'humain à l'humain étranger.
2: Une pièce de théâtre sur l'hôpital:
Une micro société confronté à ces angoisses primaires, la vie, la mort, la maladie
A faire: enquête sur le milieu hospitalier.
Son but : Un ballet théâtrale, cru et poétique, (surtout pas "Urgence" au théâtre, rire!)
3: une espèce de roman, sait pas trop encore quelle forme.
Laissez parler mes délires sur les personnes que je croise dans le métro. Travail sur le portrait.
A continuer : Prendre des notes dans le métro.
Ce ne sont pas les idées qui manquent, mais bien souvent la volonté d'agir. Mais enfin, ça prendra le temps que ça prendra, maintenant que c'est écrit officiellement ici, je me sens engager à aller au bout. Et si il y en a un qui en profite pour me piquer mes idées, et ben tant pis pour moi ou pour lui d'ailleurs, si ça se trouve elles ne sont pas si bonnes que ça ;-)
4 réactions
1 De charlottine - 30/06/2010, 15:30
Intéressants projets. A propos du 3, connais-tu le blog "l'inconnu du métro" ? http://linconnudumetro.wordpress.co...
2 De luce - 30/06/2010, 17:17
Oui, bien sur. Je le lis depuis quelque temps. C'est même elle qui m'a donné un coup de fouet pour me mettre à ce projet. Mais notre démarche est inverse. Elle cherche à les placer dans leur réalité alors qu'au contraire je souhaite laisser toute la place au fantasme ;-)
3 De julio - 01/07/2010, 06:54
Très bel idée ! L’émigrant je dirai que sait toujours la même histoire et pourtant toujours différente ! Pour nous ma mère elle a connu la faim les privations de toutes sortes la requittions de leurs bien pars les fascistes « franquistes» la nuit des hommes cagoulés venait chercher sont père qui devait fuir par les toits ! Pour mon père ! Lui il na pas connu la faim, mais le faite que sont père a participé a la guerre civile, ils ont vécu comme en occupation un militaire qui contrôlée leur ferme. La grande misère en Espagne a duré depuis les années 1940 1958, il y avait aussi beaucoup de répression 2 millions d’espagnole on fuit l’Espagne a peine la guerre fini. L’émigrant fuit la misère la répression, il cherche une meilleure vie pour sa famille. La nostalgie oui, mais le bonheur aussi en plus ma mère aime faire le pitre ! La désistions de venir en France sais ma mère qui la prise, et quand les espagnoles revenez par se qu’ils il ne supporté plus leurs condition en France, elle lui a envoyé un courrier pour lui dire toi tu reste j’arrive avec les enfants. L’intégration ; un bien vilain mot pour nous, non les Cantabres ne s’intègre pas, nous somme plutôt pacifique et solidaire nous avons un sans sociale très développé, mais nous léser imposer des façons de vivre sa non ! Pours se qui est de l’étranger nous ne nous sentons étranger nul pars la terre entières appartiens a l’homme, je ne me suis jamais senti étranger en France. A la maison na mère nous a toujours appris à être du coté du pauvre du méprisé de se que les autres rejeté, le faible a toujours raison contre le Fort. Quand j’étais enfants a foussemagne tous les enfants de la cité aller a l’école sous la surveillance de mon frère, tous a la queue leuleu, il se croyait obliger de nous protégé et parfois il nous frappé se con, mais pas un enfant sais perdu !
4 De luce - 01/07/2010, 10:38
merci julio de ton témoignage.